Numérique responsable
Le numérique est à l’origine d’une partie croissante des émissions de gaz à effet de serre ; il a également des impacts négatifs en matière sociale et sociétale.
Le numérique est à l’origine d’une partie croissante des émissions de gaz à effet de serre ; il a également des impacts négatifs en matière sociale et sociétale.
La performance d’une entreprise ne peut plus aujourd’hui être exclusivement jugée à l’aune de la performance financière.
Les actifs immobiliers représentent près de 45% de la consommation d’énergie en France et à ce titre en font une cible prioritaire des stratégies de décarbonation. Or ces dernières se fondent aujourd’hui sur le Diagnostic de Performance Energétique (dit DPE ou étiquette énergie), qui ne reflète pas les consommations et émissions réelles des bâtiments.
La plateformisation marque le passage d’une économie centrée sur les produits à une économie centrée sur les intermédiaires digitaux et de nombreuses entreprises en font un levier de développement et de nouveau modèle d’affaire.
Depuis la crise financière de 2008, la capacité des banques à résister à des chocs négatifs impactant la qualité de leurs actifs est au cœur des préoccupations des autorités, des régulateurs et des dirigeants d’établissements.
Les outils de gestion, de management de l’innovation et de décision stratégique « porteriens » sont profondément ancrés dans les pratiques, la culture, et la façon de penser des entreprises. La transition vers des outils d’innovation responsable est devenue un enjeu crucial dans le contexte actuel axé sur le développement durable et la prise de conscience des limites des modèles traditionnels.